On prend la même on recommence... Une énième fois, juste pour le plaisir de faire partager les petits riens qui s'amoncellent et qui forment ma vie.

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lundi 28 avril 2008

Ca arrive aux meilleurs....


Les soirées arrosées c'est rigolo... Tu fais tout plein de trucs marrant, tu danses sur nimporte quoi tu fais des paris, tu t'éclates... Mais parfois quand tu te réveilles t'es deg!
Parce que moi je suis innocente et tout, et gentille et tout, alors quand je rencontre un ex que j'ai pas vu depuis fort longtemps ( c'est qui avait une raison, ça aurait déjà du m'alerter), jsuis aimable. Aimable bourrée = trop contente. Le type il veut m'offrir un verre dans le carré, jdis pas non... (je suis futile je sais...) Là il me dit qu'il est devenu chauffeur de poids lourds ( =routier), quelle importance la vie est belle avec zubrowska. Là il me demande mon numéron et je lui file aussi...

Et là je me réveille en fait.

Et là t'es deg. Parce que là tu te rends compte que t'as donné ton numéro à un ex moche, désespéré, et routier. Et tu le vis mal. Ok y a pas de sot métier, mais un mari sur les routes c'est nul? Bon ben on est d'accord. Surtout qu'il me propose une petite soirée rien que tous les 2 avec un accent marseillais...
Il a vraiment pas fait d'efforts.

Conclusion: Soyons sobre?

dimanche 27 avril 2008

Les allergies.

Vague souvenir. Un sol. Des soirées. Une larme et peut être d'autres. Et plus rien. Du quotidien au néant. Il ne reste finalement plus rien. Les chiens qu'on abandonne sur l'autoroute. Le soudain. Le commun des mortel. Le commun de la vie. La pierre. L'oubli. Le néant.Volatile. La désinvolture. Le non sens et l'incompréhension. Il ne reste plus rien. De la merde, du passage. Il ne reste plus rien. Et les allergies. Et le vide. Et l'incompréhension. Comment? Aussi vite? ça change comme ça. Se laisser aller, ne pas s'appercevoor. Retourner à d'autres futulités. SE dire aur evoir et à jamais

vendredi 25 avril 2008

Je peux rien dire, je peux pas en parler


Mouahah =) Je l'ai dit je peux pas en parler...En fait si je pourrais le faire pendant des heures m'étaler des jours, et ressasser des années. C'est sporadique, ça tombe quand je m'y attends le moins. Ca me surprend quand il faut, ça me redonne un coup de fouet. Ca me fait chialer une journée ou pas, ça dépend. Je l'attrape comme un rhume, de ceux qui finissent 2jours après. Ca me remet les pieds dans la folie, j'en prends plein la tête... Juste assez pour pas oublier, et juste assez pour savoir m'en passer.
Avec les années j'ai appris à manier ça comme les éclipses. Je finis par m'en foutre pendant 1an. J'en redeviens dingue l'espace d'une semaine ou d'un mois. Et ça retombe comme un soufflé pour revenir encore plus fort, encore plus loin...
Il n'y a sûrement que moi qui comprend ce que je viens d'écrire mais c'est pas grave.
Vous ne savez pas ce que c'est qu'aimer, vous ne savez ce que c'est que profiter... Vous savez juste souffrir, pleurer et vous plaindre...Vous ne connaissez pas légereté et volupté...
En tout cas j'espère que vous le connaîtrez.
Je ne vis sûrement pas de la meilleure façon qu'il soit, je ne suis peut être pas la plus heureuse, je suis encore moins la plus raisonnable, la plus simple, mais je ne regrette rien...
Je n'ai pas besoin d'un homme qui me tienne la main...du moins ce n'est plus le cas.
Je sais marcher sans l'aide de quelqun, pas seule, mais sans tuteur, je ne veux plus m'appuyer sur quelqun ou quelque chose. Tout ça est beaucoup trop éphémère...

Je suppose que j'aime bien t'avoir dans ma vie ces quelques instants volés...
Advienne que pourra...je ne réponds plus de rien =)

samedi 19 avril 2008

Non je te dis!


Non je ne changerais pas de coupe de cheveux, ni de couleurs. Je ne changerais pas non plus mon pseudo et encore moins de blog. Je ne m'habillerais pas différemment et ne déménagerais pas.

Je vais rester ici, avec mes mèches blondes, mon queen of rodeo, et mes vieilles baskets.

jeudi 10 avril 2008

When things go mad...

Je referme la boîte et la range avec les autres. Celles qui sont sorties de ma vie. Le moment est arrivé de passer à autre chose, de grandir c'est comme ça qu'on dit. Dans tous les cas la vie continue, il n'y a rien à regretter, rien à y redire. On regarde ça avec une certaine tendresse, certaines amertumes mais très peu. Il n'y a parfois pas de raisons à certaines situations, et dans tous les cas chercher en vain ces raisons est source d'épuisement. Et aujourd'hui j'ai plus envie de m'épuiser. Je préfère vivre les choses comme elles viennent.
J'ai passé une mauvaise soirée à vrai dire. Mais pas tant que ça.
La vie m'a appris que de toutes façons on ne contrôle pas vraiment les choses, et que tout est en quelque sorte écrit (hein Francis?)

L'amour ne court plus les rues, il a décidé de les déserter quand il s'est rendu compte que nous étions trop cons pour s'en occuper. Et c'est pas plus mal.